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    Yann Fortier plonge dans les années 1980 et l’univers du disco avec « Né pour être vivant » «Né pour être vivant». Photo: Couverture

    Yann Fortier plonge dans les années 1980 et l’univers du disco avec « Né pour être vivant »

    24 septembre 2020, 00h00
         |     

    En librairie le 9 octobre, « Né pour être vivant », deuxième roman de Yann Fortier (« L’angoisse du paradis », lauréat du prix Adelf-Amopa de la première œuvre littéraire francophone), retrace l’étonnante ascension d’Antoine Ferrandez qui, au tournant des années 1980, accède à la gloire interplanétaire grâce à son hymne disco emblématique « Born To Be, Or Not To Be (Born) ».

    Du pensionnat aux palaces, de la gare aux aérogares, ce récit tournoie comme une boule disco au-dessus d’une période charnière : celle de la folle année 1980 et de ses très intenses premiers mois, troublés par une série de tragédies.

    Mettant en vedette le stratège militaire belge Jean-Loup, les collaboratrices Nicole et Sylvie, l’impresario Brassens, la photographe Carla Lopes et un stupéfiant chef de cartel, cette chronique prénumérique nous transporte à Milan, Montréal, les Îles-de-la-Madeleine et le plateau télé d’Apostrophes. À l’école ou en Concorde, on y remonte le fil du temps, jusqu’à Rio, au cœur d’une suffocante tragédie. Une autre, au tableau de ces mois intenses, fondateurs des décennies à venir.

    Ayant pour trames narrative et sonore l’évolution des moeurs et des médias, de la consommation et de la communication, le roman joue avec les codes et les clichés de l’époque, au propre comme au figuré, éjectant en rafale des polaroïds résolument décalés.

    Portrait d’un temps où la musique disco vit ses ultimes heures de gloire, « Né pour être vivant » sublime la vie d’Antoine Ferrandez, déclencheur bien malgré lui de sa bombe musicale. Sérieux, sarcastique ou sautillant, Yann Fortier écrit avec souffle et spontanéité, propulsant ses mots depuis une frontière trouble, entre réalité et surréalisme. L’énergie du disco et un certain bonheur rétro rythment ce récit, ode aux dernières années analogiques.

    « Les mois pivots de la fin des années 1970 et du début des années 1980 sont peut-être les plus fondateurs de ce que nous sommes : propulsion des appareils technologiques, magnétisme croissant à l’égard des écrans avec l’arrivée de MTV, de CNN, des consoles de jeux vidéo et de l’infodivertissement. Or, c’est aussi un moment et un roman d’insouciance, un récit libre et déconfiné, à lire à proximité d’un lecteur-cassette Nakamichi LX-3, à mécanisme silencieux », explique Yann Fortier.

    Yann Fortier est né à Québec. Dès son jeune âge, il est transporté par l’énergie, l’exploration et la sonorité des mots et de la musique. Rédacteur pigiste, directeur général de l’exposition World Press Photo Montréal, il publie en 2015 son premier roman, « L’angoisse du paradis », lauréat du prix Adelf-Amopa de la première oeuvre littéraire francophone. Il partage son temps entre les Laurentides et Montréal, ponctuant sa route de voyages, de courses et, idéalement, d’une improbable virée dans un pays d’Europe de l’Est. Au printemps 2020, il complétait son deuxième roman, « Né pour être vivant ».

    Personnages  : Le producteur belge Jean-Loup Van de Wiele, l’impresario Brassens, Nicole et Sylvie de la CBS Records Paris, la modèle et photographe brésilienne Carla Lopes, Jorge Ben, un baron de la drogue, le réalisateur Claude-Bernard Aubert.

    Clins d’oeil : Pac-Man, Steve Jobs, le Pape, Nile Rogers, Ronald Reagan, Jodie Foster, les Rolling Stones, le Disco Demolition Night, Claudia Cardinale, un DJ devenu ministre italien, Rod Stewart, les Jumeaux pêcheurs, un motel madelinot, un festival de cannes, Stanley Kubrick, Bernard Pivot, deux études étonnantes, Christophe Lambert, Radio Nostalgie Abidjan, une Citroën Milord, une Datsun 310 jaune, Le Concorde, Vangelis, Farrah Fawcett et une Ferrari rouge.

    Lieux visités : Paris, Mouscron, Ohain, Royan, le Périgord, Montréal, Istanbul, Rio, les Îles-de-la-Madeleine, Mirabel, Vancouver, les studios d’Apostrophes, la suite du Pera Palace Hotel, Le Tiki de Royan, le studio d’enregistrement Quatro, le pensionnat.

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