La Salle Alfred-Pellan à Laval expose « L’éternité, si possible » jusqu’au 10 novembre
« L’éternité, si possible » crée un précédent en proposant une première collaboration de rayonnement culturel entre des centres d’exposition des villes jumelées : Nice et Laval. Une ouverture à l’international pour une réflexion artistique aux perspectives plurielles.
L’exposition « L’éternité, si possible » est coproduite par deux lieux radicalement opposés sur le spectre des espaces d’exposition : la Salle Alfred-Pellan à Laval (Québec, Canada), une institution muséale municipale aux normes bien réglementées ; et à La Maison abandonnée [Villa Cameline] à Nice (France), une maison inhabitée au style « Belle Époque » du siècle dernier qui revit depuis plus de 20 ans au fil d’expositions en art actuel.
Devant les menaces auxquelles nous faisons face, l’exposition introduit une dimension temporelle insaisissable : l’éternité. Au travers des œuvres présentées, des récits de catastrophes, de désastre, mais aussi de survivance se déroulent au passé, au présent et au futur, ou plutôt dans des futurs possibles.
L’exposition raconte notre désir d’éternité, teinté d’inquiétude, mais aussi – si possible – d’espérance.
- Artistes français : Tom Barbagli, Sophie Braganti, Aurélien Mauplot et Églé Vismanté.
- Artistes québécois : Chloé Beaulac, Martin Bureau, Mathieu Latulippe, Pierre&Marie
- Commissaires : Jasmine Colizza et Hélène Fincker
Maison des arts de Laval
1395, boul. de la Concorde Ouest
Laval (Québec) H7N 5W1