Maxime-Claude L'Écuyer.
Photo: Frédéric Bouchard
Maxime-Claude L’Écuyer s’introduit dans l’intimité du « 305 Bellechasse »
Pour « 305 Bellechasse », son premier long métrage documentaire, Maxime-Claude L’Écuyer pénètre les murs ainsi que les ateliers de cette ancienne usine de pâtes Catelli, située à la jonction de trois quartiers montréalais et repensée comme un lieu de création pour plusieurs artistes de la métropole. C’est grâce à son ami de longue date Jean-Benoît Pouliot, participant lui-même au documentaire, que le cinéaste s’est fait ouvrir les portes de cet immeuble qui, à la suite d’une vente inattendue, a entraîné l’éviction en 2020 de tous ses occupants.