Coeur de pirate sort « Tu ne seras jamais là » et l’album à paraître « Impossible à aimer »
En dévoilant la pièce « Tu ne seras jamais là » où l’accompagne Alexandra Stréliski au piano, Coeur de pirate souligne la venue d’« Impossible à aimer », un nouvel album disco pop à paraître le 15 octobre prochain.
Le refrain de la chanson « On s’aimera toujours », parue le 2 septembre dernier, résonne encore fraîchement dans les mémoires que l’autrice-compositrice-interprète revient déjà avec l’émouvante « Tu ne seras pas là », second avant-goût de son disque à venir :
Mais quand tu partiras au large
Essaie de rester loin de moi
Ton retour n’est plus qu’un mirage
J’essaie de rester comme avant
Quand tu n’étais pas là
Quand tu n’étais pas là
Et tu n’étais pas là
Tu ne seras jamais là
« Impossible à aimer » vient répondre aux inlassables commentaires reçus à l’artiste lui disant qu’il devait être difficile, voire impossible, de l’aimer. Un pied de nez qui a introduit le titre de l’album à une rafraîchissante proposition à l’ambiance disco (mais pas que) de l’artiste, où l’intemporel thème du tourment amoureux s’immisce toujours. Dans la sobriété sur « Le monopole de la douleur » pour nous chanter la douleur réciproque en confidence jusqu’à « On s’aimera toujours », en passant par « Une chanson brisée » où elle renoue avec le débit et les motifs mélodiques de ses débuts, Coeur de pirate approche, sur « Impossible à aimer », la musique avec le regard posé de la trentaine libre.
Entourée de son collaborateur de longue date, le multi-instrumentiste Renaud Bastien (co-réalisation, arrangements, enregistrement, basse, guitares, claviers, synthés, percussions, alouette), Béatrice Martin — à la voix, au piano, à la co-réalisation et aux arrangements — s’adjoint aussi les services de la très en vue Alexandra Stréliski (piano sur « Tu ne seras jamais là »), Vincent Carré (batterie, percussions), Éveline Grégoire-Rousseau (harpe sur « Le Monopole de la douleur »), Marjorie Bourque (violons sur « On s’aimera toujours » et « Le Pacifique »), Vincent Bergeron (violoncelle sur « On s’aimera toujours »), Marianne Croft (violoncelle sur « Le Monopole de la douleur »), Sonny Thomassin (chœurs sur « Tu peux crever là-bas »), Ghyslain-Luc Lavigne (prise de son), Pascal Shefteshy (mixage et matriçage) et Marc Thériault (matriçage).
- « Une chanson brisée »
- « On s’aimera toujours »
- « Une complainte dans le vent »
- « Le Pacifique »
- « Tu ne seras jamais là » (avec Alexandra Stréliski)
- « Dans l’obscurité »
- « Tu peux crever là-bas »
- « Crépuscule »
- « Le monopole de la douleur »
- « Hélas »