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    Dévoilement de la 20e édition du Festival du Jamais Lu !

    5 août 2021, 00h10

    La codirection artistique du 20e Festival du Jamais Lu vient de dévoiler l’ensemble de la programmation de cette édition anniversaire qui aura lieu du 19 au 28 août prochain.

    Dévoilement de la 20e édition du Festival du Jamais Lu ! «Écrire à mille mains». Photo: Festival du Jamais Lu

    C’est sous la ligne éditoriale « Écrire à mille mains » que se déploieront les 29 projets inédits, au Théâtre Aux Écuries, au parc De Normanville, en vidéodiffusion et en audiodiffusion. Sous la direction de Marcelle Dubois, la cellule artistique, composée de cette dernière ainsi que de Fanny Brossard-Charbonneau, Étienne Lou, Bibish Marie Louise Mumbu et Anne-Marie Olivier, souhaite faire briller les personnes qui ont contribué à l’historique du Jamais Lu et tendre la main à toutes celles qui écriront l’avenir.

    Durant dix jours, plus d’une quarantaine d’autrices et d’auteurs livreront et performeront des écritures théâtrales inédites, alliant des enjeux sociaux actuels à des thématiques qui les font vibrer.

    « Par des cabarets-littéraires, des lectures théâtrales, des performances et autres évènements originaux, le 20e Festival du Jamais Lu offre le plus brûlant, le plus inédit de notre scène théâtrale, commente Marcelle Dubois. Dans une ambiance conviviale, assister aux évènements du Festival, c’est participer à la (ré)invention de notre imaginaire collectif. Écrire à mille mains nos histoires. Écrire à mille mains nos lendemains. »

    La programmation

    La soirée d’ouverture

    • Jeudi 19 août, 20h
    • « Jusqu’où te mènera l’avenir ? »
    • Pour lancer les festivités, le metteur en scène Martin Faucher invite le public à un cabaret théâtro-littéraire rassembleur, qui questionne l’actualité (fort riche !) et notre avenir collectif. Après « Jusqu’où te mènera ta langue ? », présenté dans le cadre du 10e anniversaire du Festival, la formule est de retour et remise aux couleurs de 2021. 8 auteur·trice·s performeur·euse·s répondent aux questions du Cahier Canada bien particulier que leur a remis Martin Faucher, poussant leur langue à explorer l’après, la suite. 6 comédien·ne·s et 2 musiciens s’emparent de cette matière pour en faire une fête jouissive des mots. La soirée d’ouverture se vivra en chair et en os, et en vidéodiffusion, soit depuis le bar aménagé pour l’occasion au Théâtre aux Écuries, soit à la maison.
    • Textes et performances : Nahka Bertrand, Sébastien David, Alexis Diamond, Hugo Fréjabise, Emmanuelle Jimenez, Bibish Marie Louise Mumbu, Tamara Nguyen et Jocelyn Sioui
    • Comédien·ne·s : Lyndz Dantiste, Sébastien David, Célia Gouin-Arsenault, Marie-Ève Groulx, Emmanuelle Jimenez et Jules Ronfard
    • Musique : Benoît Landry, Navet Confit
    • Assistance à la mise en scène et régie : Marie-Aube St-Amant Duplessis

    La soirée sera précédée par « Avoir 20 ans - Se raconter pour avancer : une discussion en formule 5 à 7 », entre Marcelle Dubois, cofondatrice et directrice artistique du Jamais Lu et les trois codirecteur·trice·s invité·e·s de cette édition. Cet événement satellite sera le coup d’envoi du 20e anniversaire et se tiendra dans le parc Dev Normanville adjacent au Théâtre Aux écuries.

    Le coeur de la programmation

    Des textes qui sortent du four, des lectures théâtrales qui célèbrent, qui fouillent et qui nomment l’espoir d’un espace collectif plus doux.
    Les représentations se vivront soit ensemble, en salle au Théâtre Aux Écuries, soit en audiodiffusion depuis le confort du foyer des spectateur·trice·s.

    La sélection des auteur·trice·s a été faite dans un souci de cohabitation, entre des auteur·trice·s habitué·e·s du Jamais Lu et de toutes nouvelles voix. Avoir 20 ans, c’est faire de la place à tout le monde !

    Vendredi 20 août, 20h : Avec « Péremption(s) », Caroline Somers et Marc-Antoine Lamarche mettent en scène huit personnages singuliers dans un magasin de jeans où la publicité dépasse la fiction. Un collage de vignettes légèrement absurdes qui décortique nos quêtes factices de bonheur.

    Samedi 21 août, 20h : « La reine Nzinga : une épopée » est un conte historiographique qui retrace les pas de cette reine congolaise oubliée, en traçant le triangle Belgique-Congo-Canada parcouru par sa descendante Tatiana Zinga Botao, coautrice avec Alexis Diamond et Bibish Marie Louise Mumbu. Une mise en lecture de Kamana Ntibarikure.

    Dimanche 22 août, 13h : « Bagages » se penche sur la tentative d’aller de l’avant alors qu’on est enlisé dans les chagrins d’amour et autres démons du passé. Un texte de Sarah Segal-Lazar traduit de l’anglais au français par Gabrielle Chapdelaine et mis en lecture par Zoé Tremblay-Bianco.

    Dimanche 22 août, 20h : « Je suis perdue, toi aussi » de Élie Marchand, c’est un besoin de chercher le bonheur ailleurs, un projet de survie en forêt dans le Grand Nord pour trouver le vrai (!) sens de la vie, un ours philosophe, et une barmaid du B-C qui débarque à Montréal un peu perdue. Une mise en lecture de Marie-Ève Milot.

    Lundi 23 août, 20h : Dans « Chambre d’écho », Philippe Ducros explore l’importance et les dérives des médias sociaux en temps de crise sociale, le lien entre l’Amérique et le Moyen-Orient. Ce texte est inspiré de son voyage qui l’a mené au Liban pour retrouver une amie en Syrie, dans un contexte de guerre, de chaos et de révolution numérique.

    Mardi 24 août, 16h : « Chokola » est le texte lauréat du concours l’Égrégore du RIASQ. Dans une douce poésie déjà très affirmée, l’autrice Phara Thibault parle de son adoption, de la quête de sa mère biologique et du racisme systémique qui écorche au passage d’une existence. Le tout mis en lecture par Sofia Blondin.

    Mardi 24 août, 20h : Avec « RAD », Julien Beauseigle questionne, dans une langue au rythme d’enfer, le chemin qui mène à la radicalisation citoyenne et en opposition, celui qui mène à une révolution intérieure, celle qui réfléchit le changement social par l’esprit de communauté et le tissage de liens. Mis en lecture par Gabrielle Lessard.

    Mercredi 25 août, 20h : Originaires du Nouveau-Brunswick, Bianca Richard et Gabriel Robichaud partent à la rencontre des origines de l’insécurité linguistique liée au Chiac, de son évolution, et éventuellement, de la possibilité de s’en départir : un projet aussi personnel qu’universel. « Parler mal » est mis en lecture par Alix Dufresne.

    Jeudi 26 août, 20h : Dans « Et si je ne suis pas sage qu’allons-nous faire ? », Iva Brdr, autrice serbe francophile, aborde les thèmes de la relation mère-fille, la transmission des traditions et la solidarité féminine. Ce texte, mis en lecture par Catherine Vidal, a été sélectionné par un jury d’adolescent·e·s, dans le cadre de l’initiative Paroles Croisées menée avec en coproduction avec le Théâtre Bluff.

    Vendredi 27 août, 20h : Militante et figure de proue d’un mouvement écologique ayant forcé une shop à fermer dans son village natal, une femme revient chez elle, où il ne reste plus que quelques hommes... Cette tragédie moderne se déroule dans une langue truculente aux accents de nordicité. « Un coin jeté dans l’Nord » est un texte de Alexandre Castonguay et Nicolas Lauzon, mis en lecture par Sarah Berthiaume.

    Samedi 28 août, 20h : S’adressant à un public de 7 ans et plus, « Charlie, du vent derrière le nombril (pentalogie jeune public) » raconte l’aventure de Charlie qui parcourt la Savante, la Patalogie et les Zégos, à la recherche de son identité ; un texte qui met le pouvoir de l’imaginaire au coeur de la pulsion de vie. Signé par Martin Bellemare et mis en lecture par Betty Heurtebise.

    La soirée de clôture

    Soirée des ouvertures : Tribune solennelle pour mondes nouveaux

    • Samedi 28 août, 20h
    • En guise de soirée de clôture, le Jamais Lu a voulu pour son 20e anniversaire, faire la part belle à la future génération. Après l’année pandémique et malgré le report de centaines de projets sur la scène culturelle québécoise, il est essentiel de rester connecté aux nouvelles paroles et à ceux qui les portent, ici, maintenant, dans l’urgence de dire.
    • C’est empreinte de cette urgence, que Gabrielle Côté signe la mise en forme de cette soirée qui propose à 10 jeunes créateur·trice·s de créer un geste théâtral évoquant le monde futur qu’ils et elles souhaitent voir advenir. Rien de moins ! Ils et elles monteront sur scène avec une personne contact avec qui ils et elles souhaitent penser la suite du monde.s. Une façon poétique de recréer, un geste solennel à la fois, le tissu social qui nous a tant manqué cette année.
    • Textes et performances : Karl-Henry Brezault, Maxime Brillon, Kijâtai Alexandra Chezo, Irdens Exantus, Carolanne Foucher, Charles-Aubey Houde, Nasim Lotij, Étienne Lou, Solène Paré et Zoé Tremblay-Bianco

    6@7 performance

    La série des choses certaines

    Au confluent de multiples crises - sanitaires, sociologiques, environnementales -, le mode de vie de notre société est devenu insaisissable…déstabilisant l’Homme qui a tant besoin de certitudes pour avancer.. Toujours au service de sa société, le Jamais Lu pose donc à sept artistes et collectifs, avec une bonne dose d’humilité et d’humour, la question suivante : mais quelles sont donc les choses certaines sur lesquelles bâtir la suite du monde ? En formule cabaret, une performance de 20 à 50 minutes est offerte gratuitement en apéritif aux lectures théâtrales du Festival.

    Soir après soir, à 18h le public découvrira les Choses certaines de : Mireille Tawfik, Hugo Fréjabise, Jaleesa Coligny, Niap et Olivia Ikey Duncan, Les Bénés, Pleurer Dans’ Douche (Geneviève Labelle et Mélodie Noël Rousseau), Francis-William Rhéaume

    Séances jamaisliennes : « Les déjeuners sur l’herbe »

    S’adressant autant aux professionnel·le·s du milieu qu’à une communauté plus étendue, « Les déjeuners sur l’herbe » sont une série de quatre conversations matinales au parc De Normanville autour des processus d’écriture et de la façon dont ces derniers sont influencés par le travail solitaire et/ou collectif. Un croissant et un café à la main, des practicien·ne·s partageront leurs démarches et pensées.

    Invité·e·s en ordre de présentation : David Paquet & Karine Sauvé / Fanny Britt & Alexia Bürger, Alexandre Castonguay & Nicolas Lauzon / Projet MÛ & Théâtre Du Bunker / Les Bénés & Nice Try & La Fratrie

    Jamais Lu Mobile en écoute collective

    Le Festival offre l’opportunité au public de découvrir, lors d’écoutes collectives, trois oeuvres audio issues de la première édition du Jamais Lu Mobile qui a eu lieu au printemps dernier. En partageant l’écoute avec d’autres spectateur·trice·s, le balado-théâtral devient un art vivant et collectif.

    Oeuvres en ordre de présentation : « À demain Moïra » de Anik Martel, « Lau » de Marie-Pier Audet et « L’apnée du soleil » de Jean-François Aubé

    Événement satellite : Jeudi 26 août, 12h30

    En collaboration avec l’équipe caraïbéenne avec laquelle le Jamais Lu développe une nouvelle antenne du Festival, le texte « Les Îles de Raphaël » est présenté en laboratoire public. Ce texte interroge la capacité pour chacun et chacune à écrire un libre récit de soi, à l’intérieur des Grands récits que les morts lèguent aux vivants. Écrit par l’autrice martiniquaise Alexandra Déglise et mis en lecture par Emmanuelle Jimenez. Une discussion web avec l’autrice suivra la présentation.

    Un quartier général repensé

    Au vu de la situation sanitaire en cours, le Jamais Lu a réaménagé ses espaces pour offrir un bar sécuritaire avant et après les événements où les festivalier·ère·s pourront échanger entre petites tablées leurs impressions sur l’œuvre entendue. Des repas légers seront également offerts sur place pour permettre aux spectateur·trice·s de passer des 6@7 performances aux lectures théâtrales, sustenté·e·s.

    Les festivalier·ère·s doivent réserver leur place pour tous les événements, y compris ceux offerts gratuitement.

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