«A febre».
Photo: Courtoisie
Du 3 au 11 août, résistance et résilience, travail de mémoire et réactualisation des appartenances, le cinéma montre la force des liens entre l’Autochtone et son territoire. La projection du long métrage « A Febre » à laquelle s’associe le Festival du nouveau cinéma de Montréal est un exemple du dynamisme des cinématographies indigènes.