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    « Communiquer en français : un geste normal », souligne la Fondation Lionel-Groulx

    6 mai 2021, 18h44

    La Fondation Lionel-Groulx se réjouit de l’entrée en vigueur prochaine de l’article 1 de la loi 104. Il aura pour effet l’utilisation exclusive du français dans ses communications écrites avec les personnes morales établies au Québec et avec les autres gouvernements.

    « Communiquer en français : un geste normal », souligne la Fondation Lionel-Groulx Drapeau du Québec. Photo: twenty20photos (via Envato Element)

    Adoptée à l’unanimité par l’Assemblée nationale en 2002 dans la foulée des États généraux sur la situation et l’avenir de la langue française au Québec, la loi 104 a vu plusieurs de ses dispositions être mises en application dès son adoption, mais pas son article 1. Il en résulte que les pratiques en place contribuent au bilinguisme institutionnel de l’État québécois.

    « Le gouvernement pose un geste historique qui aura pour effet de mettre fin en partie au bilinguisme institutionnel de l’État québécois. Dans le contexte où l’anglais s’est imposé de plus en plus ces dernières années dans les communications de l’État, ce geste peut sembler audacieux, pourtant, rien n’est plus normal pour un gouvernement que de communiquer uniquement dans sa seule langue officielle », a affirmé Myriam D’Arcy, directrice générale de la Fondation Lionel-Groulx.

    Cette décision constituera un très fort incitatif à franciser les milieux de travail qui devront désormais transiger avec l’État en français. Rappelons qu’une étude dévoilée récemment par l’Office québécois de la langue française (OQLF) mettait en lumière l’imposition de l’anglais comme langue de travail dans un nombre grandissant d’entreprises au Québec, particulièrement dans la métropole.

    « Nous voyons dans le geste posé aujourd’hui une première étape menant au nécessaire renforcement de la Charte de la langue française, une condition nécessaire pour assurer la pérennité de notre langue et de notre culture dont le déclin n’est plus à prouver. Nous attendons bien sûr les prochaines actions du gouvernement et le dépôt du projet de loi », a pour sa part affirmé Jacques Girard, président de la Fondation.

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