Le rappeur LeMind fait paraître son mini-album « Candlelight » le 2 avril
Découvert par le grand public à l’émission « La fin des faibles » sur les ondes de Télé-Québec, Mathieu D’Andrade-Stead alias LeMind est un jeune artiste-entrepreneur, établi sur la scène hip-hop montréalaise depuis quelques années. Producteur et réalisateur (Adamo, Raccoon, Doug St-Louis, Day Vee) rappeur, pianiste, DJ et maître de cérémonie (MC), il est propriétaire d’un studio où la création audiovisuelle est maître. Il signe d’ailleurs ses propres vidéoclips avec versatilité et audace, comme en fait foi le premier extrait de son mini-album, « Wasted ».
LeMind fait donc paraître « Candlelight », son cinquième opus, le vendredi 2 avril. Ce mini-album autoproduit présente un projet aux analogies entre la vie, la carrière et le cycle de vie d’une chandelle.
« Candlelight débute avec "Wasted" ; jeune et plein d’ambitions, on regarde le monde avec les yeux plein d’étincelles, on a la flamme et parfois même, on flambe ! On se brûle moins à mesure que la confiance s’installe et qu’on vit nos passions sereinement », explique l’artiste.
« Arrive le moment de l’apogée où on brille dans toute notre splendeur, on est au top. Penthouse c’est ça ; au sommet, la tête haute, on voit grand, pensant qu’on a tout le temps du monde pour se réaliser ».
« Mais personne n’est éternel et en chemin, on perd des "Morceaux". À petit feu, la cire s’écoule, comme le temps qui file ; l’important c’est d’apprécier ce qu’on a. »
« Enfin, "CandlelighÉ représente les dernières lueurs, les dernières années de sa courte mèche. Tremblotant et digne, on raconte ses histoires en essayant de passer le flambeau, d’allumer une autre flamme, avant de s’éteindre. »
« On n’est pas inquiet pour son avenir », a lancé Pierre-Yves Lord, lors de la grande finale de La fin des faibles.