Fabiene Colas, Marie-France Godbout, Laurent Rosencwajg, Kathleen Beaugé, Johanne Larue, Marie-Anne Raulet, Laura-Jeanne Lafave.
Photo: Capture d'écran
La SODEC souhaite voir une plus grande masse critique de projets soumis par des créateurs et créatrices racisé-e-s
Le 25 mai 2020, l’Amérique est secouée par la mort de Georges Floyd. Manifestations et émeutes s’organisent aux quatre coins des États-Unis, puis la grogne se fait sentir jusque chez nous au Québec. Parallèlement à ces événements, l’enjeu de la diversité, devant comme derrière l’écran, est de nouveau sur de nombreuses lèvres. Comment s’assurer que les créateurs et créatrices racisé-e-s puissent accéder au financement que les diverses institutions offrent pour faire du cinéma ? Dans le cadre d’une discussion se déroulant lors du Festival international du Film Black de Montréal, plusieurs intervenants, dont Johanne Larue de la SODEC, ont dressé un portrait de la situation.
