Vues d’Afrique : Simon Plante explore les divers facettes du deuil dans « Pour ne pas mourir »
C’est après la mort d’un de ses proches, décédé accidentellement à 31 ans, que Simon Plante est parti rejoindre sa copine au Bénin. Ayant déjà entamé des recherches sur les rites funéraires, le deuil et le vaudou, il a appris qu’une famille africaine avait également perdu un des leurs, aussi âgé d’une trentaine d’années. Reconnaissant le lien possible à faire entre ces deux histoires, il est allé tourner « Pour ne plus mourir », moyen métrage documentaire, avec une petite subvention du Conseil des arts et des lettres du Québec, qui se retrouve dans la programmation du 36e Festival Vues d’Afrique.