FCVQ : Louis Bélanger, plus ludique avec « Vivre à 100 milles à l’heure »
Avec « Vivre à 100 milles à l’heure », c’est la seconde fois que Louis Bélanger retrouve les mêmes mécanismes scénaristiques que « Gaz Bar Blues », c’est-à-dire ceux du récit autobiographique. Mais bien sûr, alors qu’il pige dans ses propres souvenirs, campés dans la banlieue de Québec dans les années 1970 et 1980, il s’amuse à les transformer et à les réinventer. « À l’écriture, c’est facile. Le premier jet se fait assez rapidement. Par la suite, il faut surveiller là où il y a un ralentissement ou des effets doublons », confie-t-il en entrevue avec Qui fait Quoi en marge du Festival de cinéma de la ville de Québec où le long métrage est présenté en première canadienne.