Mathieu Plante / Luc Dionne.
Photo: Robert Etcheverry / Attraction Images
Un mot urgent des présidents de la SARTEC et de la SACD, Mathieu Plante et Luc Dionne
Comment faire pour que nous puissions encore avoir les moyens d’écrire en français et voir nos textes portés aux écrans ? Pour que nos budgets de productions cessent de décroître ? Que les auditoires de nos diffuseurs arrêtent de diminuer et leurs revenus publicitaires de migrer vers le Web ? Que notre cinéma et notre télévision soient suffisamment promus dans les médias ? Que les valeurs de notre société, le savoir-faire de notre industrie et nos œuvres atteignent leur vaste public ?