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    Une 17e saison pour « Belle et Bum »

    20 septembre 2019, 06h06
         |      Article rédigé par Sophie Bernard

    Cette année marquera la 17e saison de « Belle et Bum » sur les ondes de Télé-Québec à compter du 21 septembre les samedis à 21 h. La matière se renouvelle tout le temps, rien à craindre de ce côté. Et puis, l’émission se veut différente de d’autres qu’on peut voir ailleurs, explique Normand Brathwaite, que nous avons rencontré accompagné de la coanimatrice Mélissa Lavergne.

    Une 17e saison pour « Belle et Bum » Mélissa Lavergne et Normand Brathwaite. Photo: Sophie Bernard

    « On se renouvelle constamment, on ne tombe jamais dans la redite », souligne la percussionniste. « Chaque année, il y a toujours un artiste qui me jette à terre », enchaîne le coanimateur. Pour Mélissa Lavergne, l’année dernière, ce fut Lou-Adriane Cassidy, une auteure-compositrice-interprète qui s’inspire de la pop des années 1970 et de la chanson française et à qui la coanimatrice prédit un bel avenir. « Ce qui est le fun à "Belle et Bum", c’est que non seulement nous faisons découvrir de nouveaux artistes, mais nous créons aussi des moments uniques, spéciaux, propres à l’émission, ajoute-t-elle. Je pense, par exemple, à Safia Nolin et Kevin Parent avec la chanson "Seigneur". » Les téléspectateurs sont certains de voir une émission qu’ils ne verraient pas ailleurs, croit-elle.

    Et si l’émission produite par Datsit Sphère fonctionne depuis 17 ans, c’est aussi parce que les musiciens de l’orchestre se retrouvent au coeur de l’expérience. Évidemment, la première vedette demeure l’invité, mais la deuxième se trouve être l’orchestre, qui n’est pas caché dans le fond de la scène, et la troisième, les deux animateurs. Les musiciens sont, pour la plupart, les mêmes depuis les tout débuts. Mélissa Lavergne a elle-même commencé à l’âge de 19 ans à l’animation. Normand Brathwaite se demandant d’ailleurs si elle avait l’âge légal.

    « J’étais au cégep en musique et c’est mon professeur, Luc Boivin, qui était alors directeur musical de l’émission, qui a tendu la perche, et Normand a demandé à me prendre, se souvient-elle. Humainement, je me suis trouvé une famille et, c’est vrai, avec les musiciens et musiciennes, Normand et des membres de la production qui sont là depuis longtemps. On s’est vu grandir, on s’est vu changer de vie. Forcément, cela crée des liens très forts. » Elle estime également avoir grandi en tant que musicienne. Arrivée à l’âge de 19 ans, elle avait faim, comme la plupart des jeunes artistes. Au fil du temps, elle a appris l’humilité, à jouer moins et le faire plutôt pour la musique.

    De son côté, Normand Brathwaite ne voit pas venir de lassitude. Par contre, il sent une inquiétude pour l’après « Belle et Bum », pensant probablement faire tout à fait autre chose, comme du cinéma. « Nous avons des producteurs intelligents qui trouvent toujours des solutions pour amener de la nouveauté, précise la musicienne. Ils arrivent avec des micros changements qui donnent un nouveau souffle. » Eh oui, il arrive que des vedettes ne se pointent pas, pour cause de maladie ou de conflit d’horaire ; eh oui, certains ne sont pas très sympathiques... Nous ne demanderons pas de noms.

    La première émission de « Belle et Bum » soulignera les 50 ans d’Éric Lapointe et ses 25 ans de métier. On promet du rock et de l’énergie. Les autres émissions demeureront un heureux mélange de gens et de genres.

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