Joëlle Péloquin déploie une signalétique olympique fictive pour les besoins de « Nadia, Butterfly »
Ayant collaboré à des projets cinématographiques aussi variés que le court métrage « Nous sommes le freak show » de Philippe Lupien et Marie-Hélène Viens, et les longs métrages « All You Can Eat Buddha » de Ian Lagarde et « Kuessipan » de Myriam Verreault, Joëlle Péloquin se retrouve présentement à réfléchir les décors de « Nadia, Butterfly », le second long métrage de Pascal Plante qui se déroule dans le milieu de la compétition olympique avec comme discipline mise à l’avant-plan, la natation. Qui fait Quoi a discuté avec la directrice artistique sur le plateau de tournage.