« Nadia, Butterfly », pour un rapport plus intense avec la natation
Tout comme c’était le cas pour « Les faux tatouages », Pascal Plante a été mené par sa cinéphilie lorsqu’il a imaginé le récit de son second long métrage « Nadia, Butterfly ». Voulant offrir au public un film que lui-même n’a jamais vu jusqu’à ce jour, il a donc choisi de raconter le périple intime d’une jeune nageuse de 22 ans à la veille de sa retraite lors des Jeux olympiques de 2020 à Tokyo. « Et ça conjugue mes deux vies. Je trouve aussi que la natation est un sport qui est tellement mal aimé du cinéma de fiction », confie le réalisateur qui a lui-même été nageur de haut niveau et qui a été rencontré par Qui fait Quoi sur le plateau de tournage du film.