Laurence-Anne.
Photo: Courtoisie
Après la sortie d’un premier album vivement applaudi par la critique, une salle comble pour son lancement en février au Ausgang et une tournée de la jungle des festivals quasi-exhaustive, la chimérique Laurence-Anne sera de retour le 10 octobre prochain à Montréal pour présenter en live son premier album « Première apparition ».
Pour l’occasion, l’artiste kamouraskoise et son groupe prendront possession du Bain Mathieu le temps d’une soirée des plus singulières où musique, art visuel et théâtralité se confondront en une seule et même forme lumineuse. Comme une montagne sacrée où se déclinent en autant de sommets tous les mots qui l’habitent, la poésie de Laurence-Anne vous attend quelque part entre le vertige et la chute.
En première partie, la grande finale de la saison d’Hunger Paint vous permettra également de découvrir (ou de redécouvrir) cette nouvelle discipline artistique alliant la lutte, le « live painting » et la performance, alors que ses participants se donneront corps et âmes dans ce dernier combat pour le titre.
Laurence-Anne en concert
- Jeudi 10 octobre 2019 - Bain Mathieu
- Portes 19h - spectacle : 20h
- En collaboration avec le festival SOIR et les soirées « Hunger Paint »
- Annonce et mise en vente des billets le mardi 30 juillet à 13h
C’est en février dernier que Laurence-Anne, la jeune retraitée du crime désorganisé et finaliste des Francouvertes 2017, sortait son premier long jeu intitulé « Première apparition ». Entourée de ses fidèles musiciens et du talentueux Jean-Bruno Pinard (Les Louanges, Mon doux saigneur) derrière la console, l’auteure-compositrice-interprète mise sur des mélodies accrocheuses et déstabilisantes, parvenant à donner tout son sens au terme « pop alternative ». 9 chansons dans un cadre d’exploration musicale assez aventureux, mais toujours bien dosé. Se promenant entre volcans et plantes carnivores, on découvre dans les mots de Laurence-Anne tout un réseau de jungles et d’écosystèmes aussi riches que dangereux, où les blessures et les joies du coeur s’exposent en parallèle à celles du corps.
