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    L’Usine C présentera « Tomates » du 16 au 18 janvier 2019

    13 novembre 2018, 00h05

    Avec cette nouvelle création, on retrouve la réjouissante et anarchique signature de L’orchestre d’hommes-orchestres (L’ODHO) : écrans de toutes tailles, objets pêle-mêle, mécanismes divers, balles de ping-pong et, surplombant l’ensemble, un clavecin.

     L’Usine C présentera « Tomates » du 16 au 18 janvier 2019 «Tomates». Photo: Charles-Frédérick Ouellet

    Parmi ce bric-à-brac, sept révolutionnaires se sont retranchés du monde, emportant avec eux les textes du Comité invisible et un conte traditionnel acadien dont les trames s’entrecoupent, se traversent et se répondent, laissant émerger une réflexion politique riche et complexe, assaisonnée du petit grain de folie propre à L’ODHO. « Tomates » appelle joyeusement à la rébellion, par le fond comme par la forme.

    Sept personnes se retranchent du monde. Elles marquent la frontière de leur nouveau territoire à l’aide d’une corde. Piégés avec elles, des éléments s’entrechoquent : un essai insurrectionnel du Comité invisible, les règlements du jeu de Go, des tomates, un clavecin, des objets jaunes, une caméra… et l’épopée du Prince Simon, héros du conte traditionnel Le sabre de lumière et de vertu de sagesse. L’histoire se déploie et s’enroule sur elle-même, dans une densité critique et un comique vertigineux. « Tomates » explore les notions de crise, d’anonymat, de pouvoir et d’enfermement, pour donner vie à un opéra épique indiscipliné, où le deuxième acte en viendra à capturer le premier.

    « Tomates »

    • Idéation et création : L’orchestre d’hommes-orchestres avec la complicité des performeurs invités
    • Librement inspiré de « À nos Amis du Comité Invisible » et du conte « Le sabre de lumière et de vertu de sagesse »
    • Avec des textes tirés de « L’insurrection qui vient du Comité invisible », « Tomates » de Nathalie Quintane, « L’Empire de l’or rouge : enquête mondiale sur la tomate d’industrie » de Jean-Baptiste Malet, « Comment sauver le commun du communisme ? » d’Erik Bordeleau.
    • Distribution : Bruno Bouchard, Lysiane Boulva, Gabrielle Bouthillier, Simon Drouin, Simon Elmaleh, Benoit Fortier et Danya Ortmann
    • Lumières et vidéo : Philippe Lessard-Drolet
    • Musique : L’orchestre d’hommes-orchestres, J.-S. Bach, D. Buxtehude, F. Couperin et G. De Machaut avec la complicité des performeurs invités
    • Scénographie : L’orchestre d’hommes-orchestres
    • Son : Frédéric Auger
    • Machines : Pascal Robitaille
    • Projet soutenu par le Conseil des arts du Canada, le Conseil des arts et des lettres du Québec, l’Entente de Développement Culturel MCC-Ville de Québec et Les Productions Recto Verso. Merci à Pierre Bouchard, Danielle Boutin, Marisol Drouin, Olaf Gundel, Vivian Labrie, Bernard Langevin, Zoé Laporte.
    • Présentation Usine C
    • Discussion avec le public après la représentation du jeudi 17 janvier.

    L’orchestre d’hommes-orchestres

    Protéiforme et indiscipliné, le collectif multiplie les collaborations avec des artistes de différents horizons (arts visuels, musique, théâtre, danse, performance...), dans un souci de polyvalence et de renouvèlement des langages. Toujours prêts à regarder la chose derrière la chose et à tirer le fil invisible, L’ODHO et ses collaborateur.rice.s s’intéressent à la mise en relation constante de divers éléments de langage et aux objets artistiques qui en résultent.

    Symbolisé par le personnage de l’homme-orchestre, sorte d’homme à tout faire sans talent particulier sauf celui de pouvoir tout faire en même temps… un peu, L’ODHO touche à tout, sans pour autant posséder les expertises attendues ou les connaissances préalables ; il faut donc partir à la recherche de solutions hors-pistes et réinventer ailleurs la virtuosité. En s’approchant ainsi du bricolage, le collectif s’éloigne de l’uniformité et de la standardisation. Il en résulte des propositions libres, ouvertes, inventives et délibérément chaotiques, qui sont autant de plaidoyers en faveur de la débrouillardise et de l’intelligence.

    L’ODHO aime prendre des risques, sur la scène et dans l’espace public, en provoquant des accidents, en exacerbant les déséquilibres et en proposant une relation aux publics brute et sans artifice. Ce qui importe c’est que chaque spectacle soit un événement qui ne se reproduira plus jamais.

    Ce collectif de créateurs de Québec reconnu pour l’originalité de son travail rayonne à travers le monde. Récipiendaire de nombreux prix, L’ODHO crée l’événement à chacune de ses créations.

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