
Avec « La terrible beauté du monde », Philippe Bourque lance un cri d’alarme sur la rémunération des artistes
L’artiste-ingénieur Philippe Bourque cherche depuis plus de vingt ans à synthétiser avec ses créations musicales innovation technologique et expression artistique engagée. Une mission qu’il a notamment concrétisée avec son projet « Phil Bourg », mêlant spectacles interactifs et commentaires cinglants sur la dépendance numérique. Aujourd’hui, celui qui a également fondé l’entreprise Cérebrum s’est investi dans la production d’un album aux côtés du musicien Samuel Wagner et de l’artiste anonyme Insuula. Intitulée « La terrible beauté du monde », cette oeuvre a pour particularité d’avoir été coréalisée avec une intelligence artificielle, afin de démontrer les possibilités entourant cette technologie, pour le meilleur et pour le pire. Le Lien MULTIMÉDIA s’est entretenu avec Philippe Bourque pour en savoir davantage.