Intégrer le marché du travail lorsqu’on souffre d’un handicap invisible
« Au Québec, environ 10% de la population s’identifie comme sourde ou malentendante, 25% de la population vit avec une déficience auditive quelconque et ce pourcentage grimpe à 65% chez les personnes de plus de 70 ans », selon le Réseau québécois pour l’inclusion sociale des personnes sourdes et malentendantes (ReQIS). D’autres organismes avancent le chiffre de 2 Canadiens sur 5. Ce handicap invisible rend l’intégration au marché du travail difficile. Kim Auclair, présidente et animatrice de communauté Web chez niviti, fondatrice de MacQuébec, auteure, blogueuse et conférencière, en sait quelque chose : elle vit avec une surdité sévère à profonde des deux oreilles.
25 janvier 2019, 07h35